Difficultés scolaires : comment aider son enfant à apprendre ? avec Guillaume Bousquet #227

Les difficultés scolaires concernent de nombreux enfants et peuvent rapidement impacter leur confiance en eux. Face à des obstacles dans l’apprentissage, qu’il s’agisse d’un manque de motivation, de problèmes d’attention, de troubles spécifiques ou d’incompréhensions répétées, comment trouver des solutions adaptées pour aider son enfant à apprendre avec sérénité.

Guillaume Bousquet, ancien enseignant et fondateur de Pédagovie, s’est donné pour mission d’accompagner parents et éducateurs dans la compréhension des mécanismes d’apprentissage. À travers des outils et des formations, il propose des solutions concrètes pour aider chaque enfant à révéler son potentiel et retrouver le plaisir d’apprendre.

Comment redonner du sens aux apprentissages ? Quels leviers actionner pour raviver la motivation ? Comment adapter l’accompagnement à chaque profil d’élève ? Autant de questions essentielles auxquelles cet épisode apporte des éléments de réponse grâce à l'expérience et aux enseignements de Guillaume Bousquet. Que vous soyez parents, professeurs, éducateurs, cette écoute devrait vous être utile.

Comprendre les difficultés scolaires : d’où viennent-elles ?

Les difficultés scolaires peuvent avoir de multiples origines, mais certaines causes reviennent fréquemment : un manque de sens dans les apprentissages, des problèmes d’attention ou encore une approche trop formelle de l’enseignement. Ces obstacles impactent directement la motivation des enfants, pouvant aller jusqu’à la phobie scolaire ou refus anxieux scolaire.

La perte de sens et de motivation

Au-delà des difficultés scolaires spécifiques aux troubles dys,  l’une des premières raisons qui freinent les apprentissages est le manque de sens. Beaucoup d’enfants se retrouvent à mémoriser des notions sans en comprendre réellement l’utilité. L’enseignement scolaire repose souvent sur un apprentissage formel, où l’on retient des règles, des listes ou des formules sans lien avec le vécu de l’enfant. Cette approche crée une déconnexion entre les savoirs et la réalité quotidienne.

« S'il y a une crise de sens, c’est parce qu'on ne sait plus pourquoi on apprend. Pourquoi ? Parce qu'on apprend de manière formelle, de manière mécanique. Il faut apprendre pour apprendre. » — Guillaume Bousquet

Cette approche trop académique et théorique de l’enseignement peut empêcher certains enfants de s’approprier réellement le savoir. Quand l’apprentissage repose uniquement sur la répétition mécanique et le par cœur, sans mise en situation concrète, l’enfant a du mal à donner du sens à ce qu’il apprend.

Lorsqu’un enfant ne perçoit pas l’intérêt de ce qu’il étudie, il se désengage progressivement. Ce désintérêt peut aller jusqu’à un rejet total de l’école. Un cercle vicieux s’installe alors : plus l’enfant est en difficulté, plus il doute de ses capacités, ce qui alimente son manque de motivation. Il perd le goût d'apprendre alors que la curiosité est naturelle chez l'enfant si elle n'est pas entravée, comme l'explique André Stern quand il parle de l'enthousiasme de l'enfant.

Les difficultés attentionnelles

Un autre frein majeur réside dans les problèmes d’attention et de concentration. Guillaume Bousquet souligne que notre mode de vie moderne, marqué par une sédentarité accrue et une forte exposition aux écrans, limite le développement naturel des fonctions cognitives essentielles à l’apprentissage. Ces difficultés attentionnelles ne concernent d'ailleurs pas uniquement les enfants...

« Il y a les difficultés attentionnelles actuelles, auxquelles beaucoup d'enfants font face, et beaucoup d'adultes font face. Donc ça, c'est un point vraiment important à aborder. Et en même temps, ce que je constate, c'est qu'il touche presque tout le monde, à des degrés différents. Et à tous les âges. » — Guillaume Bousquet

Difficultés scolaires : comment aider mon enfant à apprendre ? Privilégier le mouvement

Aller à pied à l’école, aux activités extrascolaires pour lutter contre l’hypersédentarité, néfaste pour les apprentissages
©Carla Schizzi

Comment redonner du sens aux apprentissages et le goût d'apprendre ?

Lorsqu’un enfant perçoit un lien direct entre ce qu’il apprend et son quotidien, l’apprentissage devient plus naturel et stimulant. Il ne s’agit plus seulement d’accumuler des connaissances, mais de les comprendre, de les intégrer et de les utiliser dans la vie de tous les jours. Pour y parvenir, certaines méthodes permettent de rendre les savoirs plus concrets et accessibles.

Pour aider les enfants à retrouver la motivation d'étudier, Guillaume Bousquet conseille de :

  • donner du sens ; 

  • donner des outils ;

  • respecter aussi le fonctionnement de l'individu et son rythme.

Relier les connaissances à la vie quotidienne

L’un des leviers les plus efficaces pour donner du sens aux apprentissages est de les ancrer dans des situations réelles. Apprendre une règle de grammaire, une formule mathématique ou un concept scientifique devient plus engageant lorsqu’il est mis en pratique dans un contexte familier.

« Ce n'est pas seulement donner du sens dans l'idée de pourquoi j'apprends, dans quel but dans la vie. Ce n'est pas tellement ça en premier, mais c'est donner du sens, c'est-à-dire ancrer l'apprentissage dans le réel. » — Guillaume Bousquet

Guillaume Bousquet illustre ce principe avec l’étymologie des mots. En décomposant un terme complexe, l’enfant fait apparaître des images mentales qui facilitent sa compréhension.

« Équinoxe, ça veut dire quoi ? Équi [égal] et noxe [nuit], ça veut dire quoi [moment de l'année où la durée du jour est à peu près égale à celle de la nuit) ? Une fois qu’on comprend l’étymologie, il y a des images qui naissent toutes seules dans la tête. » — Guillaume Bousquet

De la même manière, les mathématiques peuvent être intégrées au quotidien : mesurer des ingrédients en cuisine, calculer un itinéraire, gérer un budget… Observer la nature, repérer des formes géométriques dans l’environnement, comprendre les cycles des saisons : autant d’approches qui rendent les notions abstraites plus tangibles.

Favoriser la verbalisation : la pédagogie de la parole

Mettre des mots sur ce que l’on apprend est une étape essentielle pour assimiler un savoir. La verbalisation permet à l’enfant :

  • d’organiser ses idées ;

  • de clarifier sa compréhension ;

  • de renforcer sa mémoire.

Guillaume Bousquet insiste sur l’importance de donner à l’enfant la possibilité d’exprimer ce qu’il comprend avec ses propres mots. La lecture à voix haute, les discussions en classe ou à la maison et les échanges entre pairs sont autant d’outils pour favoriser cet apprentissage actif.

« Plus les enfants vont se mettre à verbaliser, à dire ce qu'ils comprennent avec leurs propres mots, où ils vont verbaliser ce qu'ils ont dans leur tête, les idées, etc., verbaliser ce qu'ils lisent, ce qu'ils écrivent, mais même tout petit, plus je laisse de la place à cette parole et à cet échange, et plus l'apprentissage sera épanoui, plus l'enfant va se construire. » — Guillaume Bousquet

Encourager cette parole permet aussi de renforcer la confiance en soi et de développer des compétences transversales, comme l’argumentation et l’esprit critique. En donnant une place centrale à l’oralité, l’enfant devient acteur de son propre apprentissage. Le sujet de la prise de parole en public dès le plus jeune âge avait d'ailleurs été abordé avec Bertrand Périer, qui en expliquait tous les bienfaits.

Difficultés scolaire : aider son enfant à apprendre en favorisant l'exploration - motricité libre

©Yank Rukov

L’importance du mouvement dans l’apprentissage

Le corps et l’esprit sont étroitement liés : le mouvement joue un rôle fondamental dans le développement cognitif et la capacité d’attention des enfants. Pourtant, notre société a progressivement réduit les occasions de bouger. Pour Guillaume Bousquet, cela a entraîné une diminution de la concentration et une augmentation des difficultés d’apprentissage.

L’hypersédentarité : un frein à la concentration

L’évolution vers un mode de vie de plus en plus sédentaire a profondément modifié la manière dont les enfants interagissent avec leur environnement. Passant davantage de temps assis en classe, devant des écrans ou dans des espaces clos, ils sollicitent moins leurs capacités motrices. Guillaume Bousquet explique que cela a un impact direct sur leur attention et leur capacité à apprendre.

« Nous héritons d'une évolution culturelle très forte, où nous sommes passés d'une culture du dehors à une culture du dedans. Et avec une culture que je qualifie d'hypersédentaire. Et cette hypersédentarité, à mon sens, elle explique très simplement ce que nous vivons aujourd'hui, et les difficultés que rencontrent les enfants et même les adultes, parce que nous ne sommes plus dans le mouvement.
Nous sommes moins dans l'interaction sociale, verbale, etc.
Et nos fonctions cognitives, c'est-à-dire le petit couteau suisse que nous avons dans notre tête, qui nous permet de pouvoir agir, apprendre, toutes ces fonctions cérébrales, elles sont moins développées, tout simplement, du fait des habitudes sociétales actuelles, post-modernes, qui sont l'héritage de cent ans d'évolution, où nous sommes passés de la nature à l'intérieur, entre quatre murs.  » — Guillaume Bousquet

Guillaume Bousquet prend l'exemple du vélo d'appartement ou du tapis de course : « Je cours entre quatre murs, avec un casque sur les oreilles, un écran devant les yeux, et voilà ce qu'est devenu le mouvement aujourd'hui, et ça explique tellement les difficultés attentionnelles des enfants ».

Il invite donc à revenir au mouvement, sans pour autant multiplier les activités extrascolaires. Le but n'est pas de surcharger l'emploi du temps, car les enfants ont aussi besoin de temps pour s'ennuyer, pour développer leur créativité à travers des moments libres.

Dans l'épisode, Guillaume Bousquet ouvre également la porte de l'alimentation, en lien avec ce sujet de l'hypersédentarité et du mouvement. En quoi l'alimentation peut-elle affecter le mouvement, avoir un impact limitant ou excitant.

Comment intégrer le mouvement dans l’apprentissage ?

Plutôt que de considérer le mouvement comme un élément perturbateur, il peut être intégré aux méthodes pédagogiques et aux habitudes familiales.

Une première approche consiste à modifier la façon dont l’enfant révise ou fait ses devoirs. L’apprentissage peut devenir plus dynamique en associant les notions à une activité physique : réciter une leçon en marchant, utiliser des gestes pour mémoriser des concepts, bouger en répétant des mots de vocabulaire… Ces stratégies renforcent l’ancrage des connaissances et permettent d’associer l’apprentissage à une expérience plus engageante.

Dans le quotidien, de simples ajustements peuvent aussi favoriser le mouvement :

  • Encourager la marche pour aller à l’école ou aux activités extrascolaires au lieu de privilégier la voiture ou les transports motorisés.

  • Multiplier les occasions de jouer dehors, notamment en laissant du temps libre aux enfants pour explorer leur environnement sans structurer chaque moment de la journée.

« Si je peux sortir une station plus tôt et marcher avec mon enfant, je vais lui rendre service. » — Guillaume Bousquet

Repenser l’apprentissage en intégrant davantage de mouvement, c’est permettre aux enfants d’exploiter pleinement leurs capacités, en respectant leur besoin naturel d’activité physique.

Difficultés scolaires : laisser de la place à l'ennui et à la créativité

©Cottonbro

Stimuler les fonctions cognitives pour mieux apprendre

Apprendre ne se résume pas à mémoriser des informations ou à répéter des exercices. Derrière chaque acquisition de connaissance, il y a des mécanismes cérébraux complexes qui permettent à l’enfant de comprendre, de structurer et de retenir ce qu’il découvre. Ces mécanismes, appelés fonctions cognitives, jouent un rôle clé dans les apprentissages scolaires.

Quelles sont les fonctions cognitives essentielles ?

Les fonctions cognitives sont comme un ensemble d’outils permettant à l’enfant d’explorer et d’assimiler le monde qui l’entoure. Guillaume Bousquet les compare à un « couteau suisse cérébral », indispensable pour tout type d’apprentissage.

Guillaume Bousquet a retenu la classification en six grandes catégories.

3 fonctions cognitives sont plutôt en lien avec le corps :

  • le langage qui permet de nommer les concepts, d’exprimer des idées et de structurer la pensée ;

  • la motricité qui joue un rôle dans l’écriture, la coordination et la gestion de l’espace ;

  • les perceptions sensorielles, essentielles pour interagir avec le monde, et qui influencent la mémorisation et la compréhension.

3 autres fonctions cognitives sont plutôt du côté cérébral :

  • les mémoires, à court et long terme, permettent de retenir les informations et de les réutiliser ;

  • l’attention est indispensable pour se concentrer et filtrer les informations pertinentes.

  • les compétences exécutives qui regroupent des capacités comme la mémoire de travail ou la planification, le contrôle inhibiteur (savoir attendre avant d’agir) et la flexibilité cognitive (s’adapter aux changements).

Chaque enfant développe ces fonctions à son rythme, mais elles peuvent être stimulées et renforcées par des activités adaptées.

Comment développer les fonctions cognitives au quotidien ?

Stimuler les fonctions cognitives ne signifie pas multiplier les exercices scolaires, mais plutôt créer un environnement riche en expériences sensorielles et en interactions avec le réel.

Une approche efficace est de favoriser les jeux sensoriels, qui sollicitent plusieurs fonctions cognitives en même temps. Par exemple, manipuler des objets variés, explorer la nature, cuisiner ou dessiner sont autant d’activités qui renforcent la perception, la motricité et l’attention.

Un autre levier fondamental est de laisser place à des moments de calme et d’ennui. Contrairement aux idées reçues, l’ennui n’est pas un obstacle au développement de l’enfant, mais un moteur de créativité et d’autonomie.

« Quand ma fille me dit "je m’ennuie", je lui réponds : "C’est génial". Et dix minutes plus tard, elle est plongée dans une activité. » — Guillaume Bousquet

Plutôt que de chercher à occuper sans cesse l’enfant avec des écrans ou des activités dirigées, il est bénéfique de lui laisser du temps pour imaginer, expérimenter et créer par lui-même. Ces moments renforcent non seulement la flexibilité cognitive, mais aussi la capacité à trouver des solutions et à structurer sa pensée.

« Ça va nous ramener à la motricité libre, par exemple. Ça va nous ramener au fait d'aller toucher, d'aller entendre, d'aller voir l'environnement qui m'entoure. Et ça nécessite aussi, du coup, d'avoir des moments où je ne fais rien, où je n'ai pas de sollicitation. » — Guillaume Bousquet

En encourageant ces pratiques au quotidien, les parents et enseignants peuvent offrir aux enfants des bases solides pour mieux apprendre, comprendre et s’adapter aux défis qui se présentent à eux.

Difficultés scolaires : pour apprendre, certains enfants ont besoin d'être en mouvement

Laissez l’enfant apprendre dans la position ou le mouvement qui lui convient le mieux. Assis à une table n’est peut-être pas la meilleure posture pour apprendre, pour lui. Il préfère peut-être réciter une poésie ou dire ce qu’il a compris et retenu d’une leçon en marchant.
©Kindelmedia

Changer de regard sur l’intelligence : une clé pour surmonter les difficultés scolaires

Lorsqu’un enfant rencontre des difficultés scolaires, il est tentant de conclure qu’il n’est « pas fait pour l’école » ou qu’il manque d’intelligence. Pourtant, ces croyances limitantes enferment l’enfant dans une posture d’échec et freinent ses progrès. Comprendre que l’intelligence n’est pas figée, mais qu’elle évolue avec le temps et les expériences, est essentiel pour l’accompagner efficacement.

L’intelligence n’est pas figée

Pendant longtemps, l’intelligence a été mesurée à travers le quotient intellectuel (QI), donnant l’impression que certains enfants naissaient avec un « don » et d’autres non. Or, les découvertes en neurosciences montrent que le cerveau est malléable. On parle de plasticité cérébrale. Le cerveau, les connexions neuronales se transforment tout au long de la vie, en fonction des apprentissages et des expériences vécues.

Certains la définissent comme une simple capacité adaptative explique Guillaume Bousquet : « par exemple, si j'arrive à m'adapter à l'environnement avec les moyens qui me sont donnés à ma naissance, c'est que je suis intelligent ».  Or la notion d'intelligence est bien plus vaste que ça.

« L’intelligence n’est jamais limitée. Aujourd’hui, on sait, avec la plasticité cérébrale, que notre cerveau est malléable. » — Guillaume Bousquet

Cette vision dynamique de l’intelligence, la psychologue américaine Carol Dweck en parle dans son livre Mindset, the new psychology of success et a pour sous-titre « How we can learn to fulfill our potential » (comment apprendre à réaliser notre potentiel). Elle évoque le regard porté sur la mentalité, notamment l'intelligence. Elle distingue :

  • l'intelligence fixe ;

  • l'intelligence de développement ;

  • l'intelligence dont nous avons hérité.

Le regard que l'on porte majoritairement sur l'intelligence, correspond à l'intelligence fixe. Guillaume Bousquet donne les exemples suivants :

  • J'ai reçu, je n'ai pas reçu.

  • Je suis bon, je ne suis pas bon.

L'intelligence de développement, c'est celle qui encourage à progresser, à stimuler. C'est l'intelligence de la remise en question, de la compréhension. C'est celle qui permet de se dire que, si je n'y arrive pas, c'est peut-être parce qu'il me manque des outils, des stratégies, ou de l'effort.

Encourager la persévérance et la confiance en soi

Enfin, Guillaume Bousquet donne un autre conseil et non des moindres dans cet épisode. Pour aider un enfant à surmonter ses difficultés scolaires, il est bien plus efficace de valoriser le processus d’apprentissage que le résultat final.

Ainsi, plutôt que de dire « Tu es fort en maths » ou « Tu es nul en dictée », il est plus bénéfique de souligner les efforts fournis :
« Tu as beaucoup progressé parce que tu as cherché différentes manières d’apprendre cette règle de grammaire. »

C'est ce qu'expliquent tant André Stern que Roseline Roy dans l'épisode sur Comment accueillir les émotions de l'enfant : il est essentiel de libérer les enfants des étiquettes.

En mettant l’accent sur la persévérance et la capacité d’adaptation, on aide l’enfant à comprendre que l’échec n’est pas une fatalité, mais une étape normale vers la réussite.

« Rien n’est irrémédiable. Il y a toujours une possibilité d’avancer et de dépasser les difficultés. » — Guillaume Bousquet

Chaque enfant possède un potentiel immense, qui ne demande qu’à être révélé. Pour cela, il a besoin d’un cadre bienveillant, d’encouragements et d’outils adaptés à son mode de fonctionnement. En changeant de regard sur ses capacités et en lui offrant des conditions d’apprentissage plus engageantes, on lui donne les clés pour retrouver confiance en lui, progresser à son rythme, dépasser ses difficultés scolaires, retrouver le goût d'apprendre.

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