Le vivre ensemble à l’école avec Mouhamadou le prof #226
L’école est un lieu d’apprentissage, mais aussi un espace de socialisation où se construisent les bases du vivre ensemble. Pourtant, ce concept ne va pas de soi : comment créer une atmosphère propice à l’inclusion et au respect mutuel entre élèves ? Quel rôle jouent les enseignants, et plus particulièrement les professeurs remplaçants, souvent confrontés à la nécessité d’instaurer rapidement un cadre bienveillant ? Comment les parents peuvent-ils accompagner ce processus en soutenant leurs enfants dans leur rapport aux autres ?
Professeur des écoles remplaçant dans le Val-de-Marne, Mouhamadou a choisi cette voie pour aller à la rencontre de publics variés et mieux comprendre les enjeux éducatifs actuels. Connu sur les réseaux sociaux sous le nom de Balance pour la balance, il partage son quotidien d’enseignant et déconstruit les idées reçues sur l’école. Dans son livre Moi, Mouhamadou, le prof, 50 histoires vécues, il met en lumière la réalité du terrain et l’importance de repenser notre manière d’être avec les enfants.
À travers son témoignage, nous explorerons la notion de vivre ensemble à l’école, le rôle central des enseignants et l’implication nécessaire des parents.
Qu’est-ce que le vivre ensemble à l’école ?
Sur le site Eduscol du ministère de l'éducation nationale, il est bien précisé que l’école est le lieu où les enfants apprennent à vivre ensemble. Toutefois cette notion ne se limite pas à la simple cohabitation des élèves dans un même espace. Construire une véritable culture du vivre ensemble implique bien plus qu’une juxtaposition d’individus. Il s’agit de créer un cadre :
où chacun trouve sa place ;
où les différences sont prises en compte ;
où les interactions favorisent la compréhension mutuelle.
« Le vivre ensemble, ce n’est pas juste mettre des individus les uns à côté des autres. C’est de la juxtaposition, ça ne fonctionne pas.
Le vivre ensemble, c'est quelque chose pour essayer d'amener les individualités à entrer dans cette notion qui est dans notre devise, d'ailleurs, du pays, la fraternité. C'est-à-dire qu'on essaye vraiment d'être ensemble et de viser un idéal qui est commun.
C'est d'ailleurs le sens des programmes lorsqu'on parle du socle commun de connaissances, de compétences et de cultures.
On essaie d'amener tout ce beau monde à quelque chose qui nous cimenterait les uns aux autres. » — Mouhamadou
Dès le plus jeune âge, les enfants développent des compétences psychosociales essentielles. Ils expérimentent spontanément la coopération, l’entraide et l’inclusion. À travers leurs jeux, leurs disputes et leurs réconciliations, ils apprennent à interagir avec des personnalités et des sensibilités différentes.
« Je trouve que les enfants, les élèves, sont des modèles sur cette notion du vivre ensemble. Eux, vraiment, au jour le jour, alors est-ce qu'ils le font exprès ou non, je ne sais pas. Mais en tout cas, ils y arrivent. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de conflit. Ça ne veut pas dire, en tout cas, qu'il n'y a pas de challenge. Non. Mais ils essayent vraiment de trouver des solutions. » — Mouhamadou
Pourtant, cette capacité naturelle à créer du lien peut être mise à l’épreuve par plusieurs défis : les conflits interpersonnels, les différences culturelles et sociales, mais aussi les inégalités qui peuvent exister au sein d’un groupe. Le rôle de l'enseignant, de l'équipe pédagogique, est alors d’accompagner les élèves dans ces interactions, en leur offrant des repères et des outils pour dépasser les incompréhensions.
L’enseignant joue donc un rôle clé dans la mise en place d’un cadre où chaque enfant peut s’exprimer et apprendre à évoluer au sein d’un collectif.
Le rôle clé des enseignants pour créer du lien
Le vivre ensemble à l’école ne se construit pas spontanément : il nécessite un accompagnement actif de la part des enseignants. À travers leurs pratiques pédagogiques et leur posture au sein de la classe, ils transmettent aux élèves les codes de la coopération, du respect et de l’inclusion. Chaque jour, ils posent les bases d’un climat de confiance où chacun peut trouver sa place et s’exprimer.
« Moi, ce que j'essaie de faire, c'est d'accompagner ce vivre ensemble. » — Mouhamadou
Les professeurs remplaçants : un défi particulier
Lorsqu’un enseignant est en poste toute l’année, il dispose de plusieurs mois pour construire ce climat de confiance et installer progressivement des règles de vie commune. Pour un professeur remplaçant, le défi est tout autre. L’intégration dans une nouvelle classe doit être immédiate et efficace, sous peine de voir l’équilibre du groupe fragilisé.
Pour pallier cette difficulté, Mouhamadou adopte une approche originale : il considère chaque remplacement, quelle que soit sa durée, comme une mini-année scolaire, avec un début et une fin clairement identifiés.
« Le lundi de la première semaine, c’est notre rentrée scolaire. Et le vendredi de la dernière semaine, c’est notre fin d’année à nous. » — Mouhamadou
En fait, Mouhamadou leur pose généralement une question un peu piège quand il arrive devant une nouvelle classe.
« Qu'est-ce que vous pensez être la plus grande richesse qui existe ? Évidemment,
ils me parlent d'argent,
ils me parlent de bijoux,
ils me parlent de leur famille,
ils me parlent de plein de choses
mais rarement, ils me parlent du temps.
Alors que pour moi, c'est le temps le plus important. Parce qu'avec le temps, on peut généralement avoir toutes ces choses-là. On peut devenir riche, on peut récolter tout plein de choses mais encore faut-il avoir le temps et en prendre soin. Donc je leur dis, on va essayer de prendre soin de notre temps ensemble. » - Mouhamadou
En instaurant rapidement un cadre structurant et en donnant du sens à chaque moment passé en classe, il permet aux élèves de se sentir rassurés et impliqués. Cette méthode, applicable à tous les enseignants remplaçants, leur offre une manière efficace de créer du lien, même sur des périodes très courtes.
Des stratégies pédagogiques pour favoriser l’inclusion
Pour favoriser un climat de respect et d’inclusion en classe, il est essentiel de multiplier les occasions d’échange et de partage. C’est dans cette optique que Mouhamadou met en place des activités qui permettent aux élèves de se découvrir autrement.
Une des initiatives qu'il met en place pour renforcer le sentiment d'appartenance consiste à proposer à ses élèves d’apporter en classe un objet qui représente leur culture d’origine. L’objectif est double :
permettre à chacun de partager une part de son identité ;
éveiller la curiosité et l’ouverture d’esprit des autres.
« C’est comme si les ancêtres de ces personnes entraient dans la classe avec nous pendant cinq minutes. » — Mouhamadou
Puis chaque enfant pioche un objet dans la collection et doit raconter ce qu'il pense être l'histoire, l'utilisation de l'objet qu'il a alors entre les mains, alors même qu'il ne le sait pas forcément. Puis vient le moment où l'élève qui en est le propriétaire explique à travers cet objet une partie de sa culture, qu'elle soit d'un autre pays, d'une autre région française. Cette séance est généralement un formidable moment de partage, et d'expression orale.
À travers ce type d’activités, les élèves apprennent à écouter, à comprendre et à valoriser des expériences différentes des leurs. Ces échanges renforcent la cohésion du groupe et permettent de tisser des liens au-delà des appartenances individuelles.
« Ils sont heureux de pouvoir partager ça avec les autres et mettre en œuvre cette fraternité.
Alors moi, ce que je fais, c'est qu'avec cette expérience-là, je leur donne juste l'occasion de le faire devant la classe entière dans un cadre défini. Mais en réalité, ils le font déjà dans les cours de récréation, ils le font déjà dans les couloirs, ils le font tout le temps. Et je trouve que c'est intéressant de s'intéresser à leur pratique pour parfois piquer un peu leur manière de faire, leur éthos, et s'en inspirer. » - Mouhamadou
Comme l'expliquait Sophie Marinopoulos dans un précédent épisode, les enfants ont tant à nous enseigner.
©Pavel Danilyuk
La co-éducation : parents et enseignants, partenaires du vivre ensemble
Le vivre ensemble ne se construit pas uniquement dans l’enceinte de l’école. Il se façonne aussi dans les interactions entre la famille et l’institution scolaire. En effet, un enfant évolue à l’intersection de ces deux mondes, et la manière dont il perçoit l’un influence son rapport à l’autre.
Pour qu’un climat de respect et d’inclusion s’installe durablement, il est essentiel que les parents et les enseignants avancent ensemble dans la même direction.
« La communauté éducative est large. Ce sont non seulement les parents, les membres de l'école, mais aussi parfois les membres de la municipalité et les élèves. » — Mouhamadou
Pourquoi la collaboration école-parents est essentielle ?
Les enfants ne sont pas seulement des élèves lorsqu’ils franchissent les grilles de l’école : ils portent avec eux les valeurs, les repères et les influences reçus à la maison et plus largement dans la société. De la même manière, ce qu’ils vivent en classe a un impact sur leur comportement en famille.
Quand les enseignants et les parents dialoguent et se coordonnent, ils offrent aux enfants un cadre éducatif cohérent qui favorise leur développement social. À l’inverse, un manque de communication ou une relation conflictuelle entre l’école et la famille peut fragiliser l’enfant et créer un sentiment d’insécurité.
Comment encourager le dialogue entre parents et enseignants ?
Malgré l’importance de cette collaboration, de nombreux obstacles subsistent. Certains parents perçoivent encore l’école comme un espace fermé, où leur avis n’a pas sa place. Du côté des enseignants, la charge de travail et le manque de temps rendent parfois difficile l’instauration de véritables échanges avec les familles.
Dans ce contexte, certains discours cherchent à accentuer la fracture entre l’école et les familles, renforçant une opposition stérile. Dans ces conditions, comment favoriser l'implication des parents ?
« Je dirais que par le dialogue, une posture, c'est déjà quelque chose. Le monde dans lequel on vit est tellement polarisé, j'ai envie de dire. Certains s'amusent de ce jeu en essayant de polariser davantage des institutions, et là, je parle de la famille et de l'école, qui pourtant ont en otage quelque part la même personne qui est l'enfant ou l'élève.
C'est juste le regard qu'on va poser sur cette personne qui va être différent.
À l'école, c'est un élève. Dans les familles, c'est un enfant. D'accord, mais c'est le même être en réalité, dans toute sa complexité. » — Mouhamadou
Pour dépasser ces tensions, il est nécessaire de multiplier les occasions de rencontres et d’échanges. Au-delà des réunions parents-professeurs classiques, souvent trop formelles, des moments plus conviviaux peuvent être mis en place : ateliers collaboratifs, cafés des parents, journées portes ouvertes interactives…
« Si jamais on a l'occasion de prendre un peu de recul sur sa propre pratique et de se dire qu'on va essayer, encore une fois, de s'asseoir tous ensemble autour d'une même table, même lorsque c'est un peu délicat, eh bien, je crois qu'on avance d'un bon pas vers cette co-éducation qui est, je crois, nécessaire » - Mouhamadou
Créer ces espaces de dialogue permet aux parents de mieux comprendre le fonctionnement de l’école et aux enseignants d’appréhender plus finement les réalités familiales. En établissant un climat de confiance mutuelle, chacun contribue à renforcer la transmission des valeurs du vivre ensemble auprès des enfants.
Ce sujet de l'implication des parents avait déjà été abordé lors de la table ronde avec Marie-Laure Viaud, Emma Bertoin et Juliette Doberva sur Comment améliorer l'école.
Des défis à relever : diversité, inclusion et lutte contre les discriminations
L’école est un reflet de la société, avec ses richesses, mais aussi ses tensions. Favoriser le vivre ensemble, c’est aussi apprendre aux enfants à accepter les différences et à lutter contre les formes d’exclusion qui peuvent naître au sein du groupe. Si ces enjeux relèvent d’un apprentissage, ils nécessitent surtout une prise de conscience collective et un accompagnement quotidien des enseignants.
Apprendre aux enfants à voir et respecter les différences
L’un des défis majeurs de l’école est d’éduquer les élèves à la diversité, en évitant l’écueil de l’indifférence. Contrairement à une idée répandue, effacer les différences ne signifie pas favoriser l’égalité. Au contraire, c’est en reconnaissant les singularités de chacun que l’on peut bâtir un cadre scolaire plus inclusif.
« On peut essayer de faire comme si on ignorait les différences à l'école. Mais le monde dans lequel on vit n’ignore pas les différences. » — Mouhamadou
Accepter la diversité ne revient pas à enfermer les élèves dans des catégories, mais à leur offrir un espace où ils peuvent être eux-mêmes, tout en apprenant à interagir avec ceux qui ne leur ressemblent pas. L’école a donc un rôle central à jouer pour que les différences soient perçues non comme des barrières, mais comme des richesses.
Traiter les propos discriminants à l’école
Si les enfants intègrent des réflexes d’inclusion, ils peuvent aussi reproduire des préjugés issus de leur environnement familial ou social. Il arrive qu’ils expriment, parfois de manière inconsciente, des propos discriminants sur la couleur de peau, le genre ou la religion.
« Alors, pour la réalité du racisme en France, elle est une question à l'école en tout cas. Elle fait écho à ce qu'il y a dans la société, ce n'est pas plus compliqué que ça. » - Mouhamadou
Face à ces situations, la réaction de l’enseignant est déterminante. Ignorer ou sanctionner sans dialogue ne permet pas aux élèves de comprendre pourquoi certaines paroles peuvent être blessantes. À l’inverse, ouvrir la discussion permet de transformer ces moments en véritables opportunités pédagogiques.
« Évidemment que le racisme arrive à l'école. Lorsqu'il arrive à l'école, là, dans cette situation-là, mais pas que, ce que j'essaye de faire, c'est de rester à ma place quelque part en me disant à l'instant où je parle et à l'endroit où je me trouve, je suis supposé être un enseignant de la République.
Peut-être qu'il y a quelque chose à tirer de cette situation parce que je sais qu'elle est réelle et que c'est un enfant qui est en face de moi, qui est censé être un élève.
Peut-être qu'il y a quelque chose à apprendre.
Peut-être qu'il y a quelque chose de bénéfique à en retirer.
Parce que lorsqu'il me dit ça, quelque part, c'est comme si c'était une proposition qu'il me faisait. » — Mouhamadou
En donnant aux enfants l’occasion d’exprimer ce qu’ils pensent et en les confrontant à d’autres perspectives, l’enseignant les aide à déconstruire leurs stéréotypes. Ces échanges, qui peuvent donner lieu à des débats philo, sont souvent l’occasion de faire émerger une réflexion plus large sur le respect, la tolérance et la nécessité de prendre en compte les ressentis des autres.
« La mission de l'école, en tout cas celle dans laquelle je m'inscris moi, c'est d'essayer d'aider au parcours citoyen des enfants dans la construction de leur identité qui soit critique. Et ce n'est pas parce que les élèves sont dans cette posture critique qui, parfois, peut me mettre en difficulté parce qu'ils ne partageraient pas mes opinions, que ça veut dire que le travail devient moins nécessaire ou moins noble. » - Mouhamadou
L’impact des enseignants sur l’évolution des mentalités
L’influence des enseignants dépasse largement le cadre de la salle de classe. En posant certaines questions et en observant les dynamiques entre élèves, ils peuvent provoquer une prise de conscience qui dépasse l’instant pédagogique.
Un exemple marquant est celui d’une expérimentation menée dans une école en Alsace, où des capteurs ont été placés dans les sacs à dos des enfants pour analyser leurs déplacements dans la cour de récréation.
« Et en fait, ce qui est apparu, c'est que les garçons occupent apparemment, je ne vais pas me dire de bêtises, 80% de l'espace. C'est fou. C'est de manière inconsciente. Et ce n'est pas parce que les filles ne veulent pas occuper les 30% qui feraient qu'elles seraient à 50%. Non, ce n'est pas ça. C'est juste qu'on est quelque part habitué à avoir ce schéma où les garçons occupent physiquement l'espace et les filles s'y font. [...]
Lorsqu'on explique ça aux enfants, au moins à la récréation d'après, on les voit faire un peu plus attention. C'est assez fou.
Donc, les enfants qu'on a en face de nous, ils ne sont vraiment pas idiots lorsqu'on leur explique ce qui se passe ou certains des enjeux, ils sont capables de s'en saisir et d'essayer de faire un peu plus attention à l'autre. Et le vivre ensemble, c'est aussi ça en fait. » — Mouhamadou
©Kindelmedia
Enseignant, une responsabilité qui dépasse la salle de classe
Favoriser le vivre ensemble à l’école est un défi quotidien, qui repose autant sur l’engagement des enseignants que sur l’implication des familles. À travers son expérience, Mouhamadou rappelle à quel point l’école est bien plus qu’un lieu d’apprentissage : elle est un espace où se construisent les citoyens de demain.
« Encore une fois, ce qu'on essaie de faire, c'est de construire la société de demain, en réalité. Parce que ces enfants qui sont là aujourd'hui, demain, ils seront à nos places. Et ce qu'on vise, c'est qu'ils fassent peut-être mieux ou qu'ils nous fassent avancer mieux que ce que nous, on fait pour l'instant. » — Mouhamadou
Mais accompagner les élèves dans cette construction ne se limite pas à l’enseignement des savoirs. Face aux réalités du terrain, les enseignants jouent aussi un rôle de protection, parfois méconnu, mais essentiel. Mouhamadou évoque les fois où les enfants se confient à leur enseignant, en lâchant quelques bribes d'information, comme s'ils testaient. Dans ces moments-là, il explique qu'il est important :
« de leur donner notre confiance et de leur faire comprendre qu'on les croit. C'est la première étape. Parce que, encore une fois, oui, mon rôle à moi et je crois que le rôle des enseignants et d'autres personnes, en réalité, on n'est pas les seuls qui soient concernés - c'est tous ceux qui recueillent quelque part la parole des enfants, c'est d'essayer de les protéger. »
Et malheureusement, Mouhamadou dresse le même constat que Lyès Louffok sur la protection de l’enfance, elle est loin d’être assurée.
À cette mission s’ajoute la pression constante de l’adaptabilité. Changement de classes, diversité des publics, pénurie de professeurs… Les conditions de travail des enseignants sont telles, qu'ils doivent faire face à de nombreux défis, parfois au détriment de leur propre bien-être. L’épuisement professionnel est une réalité qui touche de plus en plus d’entre eux. Cela rend encore plus difficile la transmission de ces valeurs fondamentales.
Alors comment mieux soutenir ceux qui œuvrent chaque jour pour préparer les adultes de demain ? La réponse passe sans doute par une prise de conscience collective : reconnaître le rôle clé des enseignants, leur offrir les moyens d’agir et renforcer la coopération entre l’école et les familles.
C’est ensemble, parents, éducateurs et citoyens, que nous pouvons façonner une école où chaque enfant trouve sa place et apprend à grandir avec les autres, à vivre ensemble.
Références :
Mouhamadou, le prof, 50 histoires vécues, Hachette, 2024
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