Quels sont les grands enjeux de l’enseignement aujourd’hui ? avec Florence Rizzo #197

À travers ses invités, le podcast Les Adultes de Demain s’emploie notamment à changer les récits autour du métier d’enseignant en France. Dans cet épisode, Florence Rizzo, fondatrice d’Ecolhuma et d’Être Prof, revient sur les enjeux de l’éducation et plus spécifiquement de l’enseignement. Le métier d’enseignant reste l’un des plus beaux au monde et des plus essentiels pour garantir le monde de demain, le partage de valeurs fondamentales, la démocratie, l’émancipation

Aujourd’hui, les enseignants français sont confrontés à de nombreux défis : dévalorisation de leur métier, nécessité d'une formation continue adéquate, importance de la relation parents-enseignants, mais aussi enseignants-élèves. Florence Rizzo aborde avec lucidité et passion les enjeux actuels de l'éducation. Elle partage également des initiatives inspirantes, tant au niveau national qu'international, et propose des pistes pour améliorer notre système éducatif.

Enseignant : le plus beau métier du monde… malgré tout

Pour Florence Rizzo, le métier d’enseignant est surtout l’un des plus essentiels. 

« Un pays a deux pieds : la santé et l’éducation : 

  • la santé, parce que sans santé, on ne peut pas vivre et grandir ;

  • l’éducation pour s’émanciper et construire le monde de demain.

Les soignants et les enseignants, pour moi, ce sont deux populations qui sont vitales pour un pays. »

Enseignant : un métier mis à mal

Au cours de l’épisode, Florence Rizzo met en lumière les challenges que doivent relever les enseignants.

  • La massification de l’éducation et la dévalorisation du métier

Au fil du temps, les enseignants, en France, ont perdu leur statut social. Sous la troisième République, c’était un métier de notable, au même titre que le maire et le curé du village. Mais depuis, la population a globalement élevé son niveau général, pendant que les enseignants voyaient le leur baisser. 

Ce métier autrefois prestigieux s’est précarisé. Il s’est aussi féminisé. Et même s’il faut un bac+5 pour l’exercer, les enseignants se sentent dévalorisés par la société. Ils sont effectivement malmenés

Pour Florence Rizzo, ceci est notamment la conséquence de la démocratisation et donc de la massification de l’accès à l’éducation et de l’industrialisation du système. D’un côté, c’est un pari gagné avec 12 millions d’élèves scolarisés en France… pour 870 000 enseignants. Et derrière, il n’y a pas forcément l’infrastructure pour « les soutenir, les accompagner afin qu’ils soient à la fois épargnés dans leur métier et qu’ils réussissent à être de bons pédagogues aux côtés des enfants ».

Le moral et la motivation des enseignants s’en trouvent affectés.

  • La solitude des enseignants

En France, les pratiques collaboratives sont 10 fois inférieures par rapport aux pays de l’OCDE. L’enseignement n’échappe pas au constat. Le métier d’enseignant s’exerce donc globalement de manière très isolée en France, contrairement à d’autres pays où l’exercice du métier est beaucoup plus collectif. Certes, les professeurs ont une liberté pédagogique appréciable et appréciée. Mais elle se pratique beaucoup avec « une culture de la porte fermée, de la peur du jugement, de la peur du regard de l’autre. »

Les enseignants ressentent une solitude croissante, face à des problématiques, elles-mêmes en augmentation. 

  • Une augmentation des missions

Les enseignants doivent faire face à une forte évolution du métier :

  • superposition de missions supplémentaires ;

  • changements sociétaux, progrès technologiques, qui viennent questionner le rôle d’enseignant, demande beaucoup de travail, d’actualisation de connaissances, comme l’arrivée de l’intelligence artificielle dans l’éducation par exemple. 

Florence Rizzo rappelle qu’enseigner, ce n’est pas juste de transmettre des connaissances, il faut aussi 

Sans oublier la sensibilisation aux questions environnementales.

Ils sont en première ligne pour aborder ces problématiques avec les élèves, ce qui complexifie leur mission éducative.

  • Un manque de formation continue

D’autant plus qu’ils sont très peu formés sur le sujet. « En formation initiale, la formation a été un peu revue, mais c'est la cinquième réforme en 15 ans, donc ce n'est pas ça qui va régler le problème », souligne Florence Rizzo. Cette insuffisance dans le développement professionnel continu limite leur capacité à s'adapter aux nouvelles exigences pédagogiques et sociétales.

Le contraste est frappant lorsque l'on compare la situation française avec celle d'autres pays, comme la Finlande ou Singapour, où les enseignants sont bien mieux formés et accompagnés tout au long de leur carrière.

« Si on prend juste la question de la formation continue, [les enseignants français] sont 10 fois moins formés qu'à Singapour ou en Suède, pour prendre les modèles nordiques, et sont 13 fois moins formés qu'un fonctionnaire issu du ministère de la Justice. »

Florence Rizzo insiste sur l'importance d'investir dans la formation des enseignants pour améliorer le système éducatif dans son ensemble : « En fait, il n'y a aucun système d'éducation qui n'a pu se transformer, qui n'a pu améliorer la qualité sans les enseignants. Ça n'existe pas. Donc, en fait, s'il y a une réforme à faire, aujourd'hui, c'est celle-là. »

  • Un métier à risque

Le métier d'enseignant est aujourd'hui de plus en plus perçu comme un métier à risque. Récemment, les enseignants ont été confrontés à des tragédies choquantes, comme l'assassinat de Dominique Bernard, qui a fait écho à celui de Samuel Paty. Ces événements montrent que l'école est devenue une cible pour des personnes radicalisées, souvent motivées par l'ignorance. « C'est la bêtise qui tue ceux qui sont là pour essayer d'élever, d'ouvrir l'esprit. » Les enseignants n'ont jamais signé pour risquer leur vie en exerçant leur profession.

« Lors des émeutes autour du décès de Naël, 200 écoles ont été prises pour cible », rappelle Florence Rizzo. Une partie de la jeunesse se retourne contre une institution censée les émanciper. Peut-être parce que l’école est aussi vécue comme le dernier outil du monde des inclus dans une société dont ces personnes se sentent exclues. C’est pourquoi, pour Florence Rizzo, c’est un réel sujet que de défendre l’école de la République en tant qu’« outil d’émancipation, qui doit permettre d’inclure toutes les parties prenantes de la société française ».

Les enseignants doivent également faire face :

  • à des attaques croissantes contre la laïcité ;

  • à la diffusion de fake news qui brouillent la compréhension scientifique des jeunes ;

  • aux défis posés par la transition écologique, et qui augmentent l'écoanxiété chez les élèves

    🎧 Écouter sur la question de l’écoanxiété, l’épisode avec Flore Vasseur, sur les jeunes face à la crise sociale et environnementale.

« L'école, elle est dans la société, donc elle est percutée par tous les maux de la société. » 

Selon les résultats des derniers baromètres sur la santé mentale, réalisés pour Ecolhuma, la santé mentale des élèves et des enseignants est en péril :

  • un élève sur quatre est en situation de stress et d'anxiété, 

  • 50 % des enseignants en situation d'épuisement émotionnel fort. 

Les enseignants doivent continuer à enseigner malgré ces défis immenses. Cela rend leur métier encore plus exigeant et sous tension… sans réelle reconnaissance en retour.

  • Une instabilité des réformes

Enfin, la fréquence des réformes éducatives crée une instabilité qui perturbe le travail des enseignants. Florence Rizzo plaide pour une feuille de route stable et suivie sur le long terme afin de permettre une véritable transformation du système éducatif.

Enseignant : un métier essentiel

Malgré les nombreux défis, beaucoup d’enseignants restent passionnés et profondément engagés dans leur mission. Florence souligne l'importance de valoriser le récit positif autour de l’éducation

  • Un récit politique, sociétale, citoyen, performatif sur l’école

« Je crois beaucoup au récit qui peut être performatif. C’est-à-dire que plus on entend la petite musique de ‘l'école publique, c'est nul, c'est un mammouth indécrottable, et de toute façon, il faut jeter l'éponge’ [...] plus cette petite musique-là est contre-productive par rapport à l'école de la République qui doit être et doit rester le socle de la nation française. »

Pour être performatif, il est nécessaire que les discours des leaders politiques, économiques et des diverses parties prenantes de la société civile s'articulent autour de l'école comme point central. Si l’école apparaît comme une étape essentielle pour construire tant les apprentissages que le vivre-ensemble, alors cette idée reste positive dans l'esprit de tous. Cela peut inverser la tendance actuelle, lancinante et épuisante.

  • Des enseignants engagés

Florence Rizzo met en avant l’engagement des enseignants qui, malgré les difficultés, continuent à croire en la valeur de leur métier : « On accompagne 170 000 enseignants avec ÊtrePROF. On vient de sortir un livre, Bienvenue dans ma classe, avec plein de très beaux témoignages d’enseignants qui racontent leurs engagements, leurs difficultés, enfin, la vie, quoi. »

Florence Rizzo insiste également sur le fait que l’enseignement est une vocation noble et vitale pour la société :

« Quand on voit les enjeux du dérèglement climatique, la montée des populismes, l'attaque du modèle démocratique, je pense que tout ça nous montre qu'on a encore plus besoin d'éducation. Plus il y a des failles de civilisation, des risques d'effondrement, et plus on a besoin de prendre conscience, d'être éduqué, d'avoir une capacité de raisonnement, une capacité de discernement, une capacité de prise d'initiative, de construction avec les autres, et tout ça, c'est l'école qui peut apporter ça. »

Enfin, elle souligne la diversité et la richesse des parcours d'enseignants, notamment ceux qui choisissent ce métier après avoir exercé d'autres professions, apportant avec eux une expérience et une motivation nouvelles : « Il y a aussi un phénomène que je trouve intéressant qui est le phénomène des secondes carrières, c’est-à-dire de gens qui ont fait autre chose dans une première vie et qui cherchent absolument à sortir de ce qu’on appelle les bullshit jobs et à aller vers des choses plus essentielles. » L’enseignement est un métier qui garde profondément un sens. 

grands enjeux de l'éducation nationale - Florence Rizzo

La relation parents-enseignants, un des enjeux de l’éducation

On ne peut évoquer les enjeux de l’éducation, de l’enseignement sans parler de la relation parents-enseignants. 

Des parents parfois plus consommateurs que partenaires

Florence Rizzo rappelle qu’historiquement, l'école s'est construite un peu en opposition aux parents. Ces derniers voyaient dans l’instruction une perte de force de travail pour les familles, dans les champs, à la maison. Bien sûr, les choses ont évolué.

Néanmoins, aujourd'hui, cette relation à l’école, cette relation parents-enseignants n'est pas toujours apaisée. Certains parents adoptent une attitude de consommateurs de l'école, dans une logique de services dus.

« Je paie des impôts, donc vous me devez tant d’heures » : ce n’est pas forcément dit, mais cette logique sous-tend les relations pour certains. Et cela peut être difficile à vivre pour les enseignants. Cela peut créer des tensions avec les enseignants, qui ressentent une pression accrue sans toujours recevoir la compréhension nécessaire de la part des parents.

Des enseignants parfois adeptes de la culture de la porte fermée

D’un autre côté, historiquement ou pour se protéger de l’attitude de certains parents, certains enseignants perpétuent la culture de la porte fermée. Ils ne partagent pas avec les parents… qui ont pourtant besoin de savoir ce qui se passe pour leurs enfants. 

Ce manque de communication, de transparence et de dialogue, de partage d’information peut entraver la coéducation et la collaboration nécessaires pour le bien-être des élèves.

Construire une coéducation

Florence Rizzo l’explique : « il y a un vrai travail à mener de tissage des liens, de cette coéducation, parce que c'est ensemble que parents et professeurs réussiront à bien accompagner les enfants dans leur capacité à grandir, à s'orienter ».

Pour elle, l'empathie et la compréhension mutuelle sont essentielles pour établir une relation positive et constructive : « Chacun doit faire un pas vers l'autre et avec empathie, comprendre les contraintes et les difficultés de chaque côté de cette relation. » Cela passe par la reconnaissance du rôle de pédagogue de l’enseignant. Chacun sa place. Pourquoi remettre perpétuellement en cause les compétences des enseignants en souhaitant leur dicter leur façon de faire alors qu’ils ont été formés et que c’est leur quotidien. 

Des liens solides, basés sur la confiance entre parents et enseignants contribuent au développement harmonieux des élèves. Une collaboration efficace permet de créer un environnement propice à l'apprentissage et à l'épanouissement de chaque enfant. 

La relation enseignants-élèves : quelle connexion établir ?

Pour Florence Rizzo, une question centrale de ce lien entre enseignants et élèves se pose autour de la figure d'autorité. Elle rappelle les propos de Michel Serres : « l'autorité, c'est ce qui fait grandir ».

Donc normalement, l'autorité est là pour élever. Or, en France, nous en avons plus une vision autoritaire que d’élévation.

Il y a donc une réflexion à mener sur la nature de cette autorité et la manière dont elle est incarnée. Les enseignants ne sont ni des parents, ni des copains, ni des grands frères. Ils occupent une position unique qui leur permet d'accompagner les jeunes dans leur développement. L'essentiel réside dans la qualité de la relation entre le professeur et l'élève, et jusqu'où on peut établir une connexion qui est fondamentalement humaine.

Sur le sujet, Florence Rizzo fait aussi référence à Maël Virat, auteur de Quand les profs aiment les élèves. L'amour des enseignants pour leurs élèves, au sens noble du terme, est souvent perçu comme un gros mot dans la culture française. Pourtant, cette notion d'attachement, tout en maintenant une distance professionnelle qui protège à la fois l'enfant et l'enseignant, est importante. Elle est à la base d’une relation humaine : « transmettre 1 plus 1 égale 2 sans affect, ce n’est pas possible en fait », explique Florence Rizzo. C’est moins efficace. 

L’intelligence émotionnelle et relationnelle des enseignants et des élèves fait partie intégrante de la connexion qu’ils établissent. Comment construire cette relation et arrêter de reléguer le sujet de l’affect au rang des tabous ?

Des initiatives et modèles inspirants pour relever les enjeux de l’éducation

Un foisonnement d’initiatives de qualité à petite échelle

Florence Rizzo invite à regarder à la loupe le foisonnement de petites initiatives menées par des enseignants, comme on peut le lire dans l’ouvrage Bienvenue dans ma classe. À l’échelle du système, soit 12 millions d’élèves, 870 000 enseignants, 60 000 établissements scolaires, les initiatives réellement marquantes en France sont rare. Pourtant les initiatives pépites existent, mais à la maille d’un enseignant, d’une école. 

On voit ainsi

  • ceux qui acceptent d'aller enseigner en milieu carcéral ;

  • ceux qui vont se bagarrer pour l'ouverture culturelle puis pour partir en classe transplantée ;

  • ceux qui vont, sur leurs deniers personnels, constituer une trousse de réserve avec colle et crayons pour les enfants dont les parents doivent choisir entre acheter à manger ou des fournitures scolaires, etc.

« C’est la somme de toutes ces pépites qui fait en fait la qualité de la relation prof-élève, la qualité de l’éducation. On ne regarde pas assez avec une loupe [....] cette capacité qu’ont les individus à

  • s’engager ;

  • écouter ;

  • être là pour accueillir tel enfant qui a des besoins particuliers ;

  • essayer d’éveiller ;

  • allumer les petites lumières dans les yeux des enfants… »

Certes, il y a des initiatives qui sortent du lot comme celle de Jérémie Fontanieu, réalisateur du film « Le monde est à eux » et à l’origine de la méthode « réconciliation ». Mais Florence Rizzo nous invite à aussi regarder collectivement la forêt qui pousse à bas bruit, qu’on ne regarde pas forcément et qui pourtant, fait la qualité du maillage et du tissu éducatif français.

Ailleurs dans le monde : des modèles inspirants pour l’enseignement

À l'international, certains modèles éducatifs sont particulièrement inspirants, comme celui de la Finlande. Florence Rizzo, ayant vécu dans ce pays pendant un an, peut témoigner de la valorisation des enseignants : « On parle souvent des pays nordiques et notamment de la Finlande. Moi, j'ai habité en Finlande durant un an et effectivement, c'est un métier qui est très valorisé. Donc, on recrute des gens qui sont les meilleurs de l'université. Ils vont être très bien payés, très bien valorisés. » 

Elle rappelle également que l’accumulation de réforme ne permet pas d’aboutir à un système en réussite. Toujours en reprenant l’exemple de la Finlande, elle explique qu’ils sont parvenus à faire évoluer leur modèle éducatif parce qu’ils se sont mis d’accord. « Et pendant dix ans, ils ont suivi leur feuille de route. Et donc, ils ont arrêté de tricoter et détricoter. Ils se sont mis d'accord, Union nationale, sur des priorités, et ils ont tenu bon. »

Ce modèle montre l'importance d'une décision politique forte pour investir dans l'éducation et valoriser les enseignants. Florence Rizzo insiste sur la nécessité de se mettre d'accord sur des priorités et de les maintenir sur le long terme pour permettre une réelle transformation du système éducatif. « L'éducation, c'est du temps long. Ça ne peut pas être une réforme qui, en un an, aurait un effet. C'est faux, ça n'existe pas. » Elle appelle à une vision à long terme, avec une stabilité dans les politiques éducatives pour permettre aux enseignants de se concentrer sur leur mission essentielle sans être constamment perturbés par des changements.

Ecolhuma et Être prof

Florence Rizzo et son association Ecolhuma ont mis en place plusieurs initiatives pour soutenir et valoriser les enseignants en France.

Parmi elles, la plateforme Être Prof est conçue par et pour les enseignants afin de leur offrir des ressources et un soutien adaptés à leurs besoins :
« ÊtreProf.fr, aujourd'hui c'est 170 000 enseignants qui ont créé un compte de la maternelle au lycée en passant par le lycée professionnel et avec l'enjeu de pouvoir s'auto-former sur des questions de

  • gestion de classe ;

  • d'accueil des enfants à besoins particuliers ;

  • accueil des enfants issus de milieux défavorisés ;

  • travail sur les enjeux du stress et de l'anxiété scolaire. »

Cette initiative propose des fiches outils, des guides pratiques, des vidéos tutos et aussi une communauté de soutien moral et psychologique.

Ecolhuma est une association dédiée à l'amélioration des conditions de travail des enseignants et à la promotion de l'éducation en France. Fondée par Florence Rizzo, Ecolhuma vise à soutenir les enseignants et les chefs d'établissement pour qu'ils puissent mieux accompagner les jeunes générations dans leur développement et leur épanouissement. L'association met en avant l'importance de l'éducation comme levier de changement social et de réduction des inégalités.

Elle organise des programmes d'accompagnement des équipes pédagogiques dans les établissements scolaires, mettant l'accent sur le travail collaboratif et la rupture de l'isolement professionnel. Ces programmes, souvent en présentiel, visent à améliorer la qualité de vie au travail et les résultats des élèves en développant une culture collaborative au sein des équipes éducatives.

 

Références : 

- Association Ecolhuma

- Bienvenue dans ma classe, 23 profs partagent leur expérience avec humour et sincérité, Être Prof, Deboeck Supérieur, 2024

- Quand les profs aiment les élèves, Maël Virat, Odile Jacob, 2019


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